Claude FARRERE. La Maison des hommes vivants. Paris, Les Annales, s.d. (1911). In-12, demi-maroquin vert bouteille à coins, dos à 5 nerfs, tête dorée, couverture et dos (Reliure postérieure). EDITION ORIGINALE. Un des 26 exemplaires sur Japon Impérial. Long envoi autographe signé sur le faux-titre : pour S. de Lopez Tarragoya / Que c'est aimable à / vous, monsieur, de demander / ma griffe sur ce livre / écrit pour rire, - inventé, / exactement, de la page 1 à / la page 40, pour distraire / d'une migraine / une jeune femme ennuyée / une après-midi de farniente / à Tamaris, vers l'an 1906 … en novembre dernier, / je vous ai dit que le premier / à naître (livre) s'appellerait "Le Dernier Dieu"… et parce que ce Dieu / là, vu les circonstances, a cédé son rang à sa sœur désor-/ mais sœur aînée : "La Dernière déesse"…/ vous serez de mon avis, puisque celle-/ ci s'appelle Bellone, et que celui-là / s'appellera Eros… / (Entre nous, il est plus conforme / à la raison que ce soit Eros qui / mette Bellone en bière)… L'exemplaire porte in fine une annotation signée de Farrère.